« À deux pas des Marches de la rue Malebranche, il y avait un grand amour…
La légende du réel ne s’offrant pas aux regards comme les fleurs, je passai mon chemin sans le voir.
Dans l’incipit qui sert de présentation aux deux œuvres,
j’attire votre attention sur la part de hasard qui agit dans les rencontres que l’on aurait dû faire et que l’on ne fait pas,
et que l’on finit par faire comme si elles avaient dû finalement arriver. »
Michèle Cointe.
Biographie complète et détaillée de Johnny Friedlaender